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Gislene L’Oranger est une artiste autodidacte.  Elle expose en galerie depuis 1997.

En 2007, un couple merveilleux lui a commandé une sculpture monumentale en marbre de 1,000 livres pour leur jardin. 

« À partir de ce moment, mon atelier est supporté par les outils pneumatiques pour réaliser cette sculpture :  Le Nous, une mer d’amour. »

Le désert et les Touaregs ont été une fascination et une passion pendant plusieurs années. 

Un fin proverbe touareg dit que :  

Dieu a créé des pays d'eau pour que les hommes puissent y vivre et des déserts pour qu’ils trouvent leur âme. 

« Plus je voyageais dans le désert par la sculpture, plus je ressentais l'eau en moi. »

Puis, ce fut la merveilleuse traversée de la pierre avec les oiseaux.

« J’aimais le défi d’exprimer leur mouvement et leur légèreté dans la masse a priori inerte de la pierre. »

Entre le désert et les oiseaux, elle a sculpté des hommes, des femmes, des enfants, des amants, des nus.

La pierre est une matière infiniment vivante. Elle s'anime sous les ciseaux, dévoile peu à peu ses failles, ses forces, son mystère. Elle révèle sa quintessence au polissage.  La pierre brute devient un pur joyau.

« Je ressens la sculpture sur pierre comme l'archéologie de l'âme. J’ai l’impression de dépoussiérer une étoile qui brillera pour quelqu'un. »

Depuis un peu plus d’un an, elle a plongé dans le fascinant monde marin : les coraux et les poissons.

L’univers marin rejoint les trois règnes :  végétal, minéral et animal.  Ce monde souvent encore méconnu est en urgence.  

« Cet écosystème m'interpelle profondément. Ces sculptures illustrent la fragilité et la précarité de nos océans. »

© 2016 par L'oranger Sculpture

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